Les mots deviennent
ils arrivent par des routes aveugles. Et ne logent nulle part.
Auraient-ils germé dans mon sang
Y auraient-ils crû
La boursouflent-ils, ma chair
L´entaient-ils
Disent-ils mes plaies monstrueuses
Feignent-ils mes danses folles
Les mots arrivent et puis s´en vonz.Ils n´ont que faire du matin éclatant dans mon rire. Ni de la nuit épaisse qui tapisse mon corps.
Les mots arrivent et disent leur mort. Et en vain, je m´en fais le réceptacle. En vain, je me fais cadavre
Mohamed Hmoudane
Attentat
recueuil de poesie
ed, de la difference
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